UNE VILLE IDÉALE POUR LES INVESTISSEURS
Une ville idéale pour les investisseurs
La capitale de la Côte d’Azur est devenue en quelques années une des destinations les plus rentables de France. N’importe quel investisseur s’y retrouve puisque selon les derniers éléments chiffrés recensés, les loyers ont grimpé d’environ 2 % depuis cinq ans. La rentabilité est donc significative, avec des taux de 4 à 6,5 % selon les quartiers, avec une prédilection pour les secteurs d’avenir comme Nice Ouest et l’Eco Vallée. Et cela, ce sont les chiffres de location à l’année.
Nice a la particularité d’offrir aussi de nombreuses locations saisonnières, très recherchées par les touristes du printemps à l’automne. On est là sur des chiffres de 10 % de rentabilité minimum. Mieux, même les places de parkings sont un atout pour les investisseurs, avec un taux de rendement moyen de 5 %.
Tout est donc en place pour faire de Nice la Mecque des investisseurs aujourd’hui et demain !
Un marché stable mais très actif
Face à la crise, dans une situation économique délicate, le marché immobilier se défend, résiste et au contraire embellit ! Pas de coup de mou, mais une vraie progression, mesurée certes mais stable et bien réelle.
Il faut dire que le prix du mètre carré dans la capitale azuréenne reste bien au-dessus du niveau national : on est à Nice entre 4 000 et 5 000 €, contre un peu plus de 3000 € en France en moyenne.
Mieux, deux secteurs sont à la hausse, mais là aussi sans à-coups : l’ancien, très recherché – et on le comprend compte-tenu de la qualité architecturale des bâtiments de la ville ; le marché de la location, très actif notamment auprès des jeunes couples qui s’installent ou des étudiants, de plus en plus nombreux à fréquenter les établissements scolaires supérieurs ou universitaires.
Le marché niçois reste donc actif, énergique, dynamique mais à l’abri de sursauts que l’on peut rencontrer ailleurs.
La pierre valeur refuge en temps de crise et d’épidémie
En mars 2020, la crise sanitaire due à l’épidémie de Covid19 a complètement bouleversé la vie de nos sociétés, entrainant notamment une crise économique profonde dans le monde entier.
Dans un tel contexte, comment l’immobilier a-t-il réagi ? La question, alors, laissait pas mal d’interrogations en suspens, compte-tenu notamment de la baisse de pouvoir d’achat d’une grande partie de la population.
En réalité, une autre partie de la population, faute de pouvoir dépenser en voyages, loisirs, sorties, a pu épargner et faire des réserves financières.
A ce premier constat s’en est ajouté un autre : beaucoup d’habitants des grandes métropoles du Nord de la France et de l’Europe ont cherché à « descendre » dans le Sud, dans des régions moins touchées par l’épidémie et surtout disposant dans un cercle de kilomètres très proches d’espaces naturels où l’on peut respirer du bon air non contaminé.
Du coup, l’immobilier à Nice et sur la Côte d’Azur a résisté et mieux a représenté une alternative intéressante pour les investisseurs.
La pierre est donc devenue une valeur refuge : à l’abri des soubresauts économiques, elle est aussi la solution pour vivre ou prendre des vacances dans des lieux préservés de la pression démographique et sanitaire que l’on rencontre ailleurs.
A ce titre, la Méditerranée est restée en pointe, très recherchée par de nouveaux investisseurs, ou en tout cas de nouveaux résidents désireux de trouver un bien qui, en l’occurrence, devient un vrai refuge en temps de crise !